Un manque de visibilité sur l’activité réelle
Le pointage automatique des heures de travail
Les salariés qui ne travaillent pas dans les locaux de l’entreprise sont des salariés dont on ne peut pas contrôler les horaires. Si la confiance est de mise dans la plupart des structures, beaucoup de gérants se sont sentis lésés avant de mettre en place la géolocalisation. Au-delà de la bonne fois des salariés, les oublis fréquents et les approximations ne vont souvent pas en faveur de la société.
En plus d’être imprécis, le pointage déclaratif entraine des tâches administratives supplémentaires chronophages. Grâce au suivi de flotte, la gestion horaire du personnel devient simple et rapide. Les feuilles d’heures sont générées automatiquement, il n’y a plus qu’à les faire signer. De plus, avec la technologie geofencing, l’activité par chantier est transparente, ce qui rend possible l’optimisation pour réaliser plus d’interventions.
Des litiges clients récurrents
Améliorer les relations grâce à la géolocalisation des véhicules
Le comptage des heures est souvent remis en cause car chacun voit midi à sa porte. Votre équipe vous assure avoir été présente pendant 10 jours d’affilée chez le client ; le client, lui, affirme n’avoir vu votre personnel à l’œuvre que durant 5 jours. Il en profite d’ailleurs pour mentionner les retards de votre équipe qui, selon lui, arrive tous les jours 30 minutes après l’horaire annoncé. Sans preuves, difficile de lui donner tort. Pour maintenir la relation, vous n’avez plus qu’à lui concéder le rabais qu’il exige… et mettre la rentabilité de côté.
La vision du planning du personnel permet de connaître le travail effectif fourni. La présence ou non des équipes sur chantiers est incontestable. Les relations sont apaisées car la suspicion envers les salariés est éliminée et le sérieux de la société est éprouvé.
Des comportements de conduite à risque
Limiter le risque routier et sensibiliser le personnel
Le risque routier est le danger le plus important pour toutes les sociétés. Rappelons que les accidents de la route sont la première cause de mortalité au travail. Ils entrainent des conséquences dramatiques, tant sur le plan humain que financier, surtout si la responsabilité de l’entreprise est engagée. Surveiller les comportements routiers est la première action à mettre en place.
En effet, les habitudes de conduites peuvent réduire ou augmenter l’accidentologie dans l’entreprise. Les contrôler permet d’identifier les conducteurs ayant besoin de formation et d’organiser des challenges internes. Ajoutez à cela un assistant audio d’éco-conduite et vous pourrez voir des effets tels que la réduction des accidents, du budget carburant et de la maintenance des véhicules.
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